Siegfried au Royaume d'Asgard

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Siegfried arriva devant la princesse Hilda de Polaris , il enleva sont casque et se mit a genoux.

"Princesse moi Siegfried jure solanelement que je vous protégerez et servirait jusqu'à la mort si il le faux."

Il faisait gris en cette froide matinée, mais quoi de plus normal dans le Royaume d'Asgard ? Personne au sein même du pays ne se disait que c'était un temps à rester chez soi, devant un bon feu de cheminée. Au contraire, les enfants étaient dehors et jouaient avec la neige fraîchement tombée durant la nuit dernière avec leurs amis, les parents allant et venant entre domicile et lieu de travail. Personne ne restait inactif, ou alors si tel était le cas, on reprenait très vite une activité. Il était une loi interdisant aux habitants d'Asgard de rester trop longtemps inactif sans feu de bois à proximité : c'était une question de survie.

Mais dans l'imposant château de pierre, il existait une personne qui dérogeait à cette loi, celle qui était la descendante de son créateur : la princesse Hilda de Polaris. Assise sur son trône de pierre, son coude posé sur l'accoudoir et la tête reposant sur sa main, elle avait fermé les yeux et semblait s'être déconnectée...

Hilda sursauta au son de la voix du guerrier divin d'Alpha. Reprenant bien vite sa position majestueuse, elle se redressa et posa les bras sur les accoudoirs, ses mains se crispant de frustration d'avoir été dérangée sur les extrémités des accoudoirs. Elle posa son regard de diamant sur Siegfried, agenouillé au bas des marches menant à son trône.

Après un moment de silence, la princesse se décida enfin à répondre au respectueux guerrier divin qui n'avait pas ciller malgré le silence pesant.

" Je ne doute pas de ta fidélité Siegfried. "

Ces simples mots résonnèrent sur les parois de pierre de l'immense salle du trône, et le silence se ré installa entre le guerrier et sa princesse, interrompu seulement par le craquement du feu dans la grande coupole au centre de la pièce. Hilda reconnu qu'elle manquait d'originalité dans ses paroles, mais elle ne se sentait pas l'énergie d'ajouter quelque chose... Si ce n'est la question qui brisa le silence.

" Sais-tu où se trouve les autres guerriers divins ? "

Invité

Albérich avait cette fois si revetit son armure avant de rejoindre la salle où Hilda attendait les guerriers divins, peut être par provocation envers les autres guerriers ou bien par ironie pour ces reunions qui lui semblaient inutiles pour le moment.
Il entra dans la salle juste au moment ou la prêtresse posait sa question a Siegfried.

Il repondit immédiatement à la messagère d'Odin:
"Je suis là, ... les autres ne vont surement pas tarder ils adorent ces réunions de retrouvailles ... chaleureuses."
Albérich avança dans la salle et croisa le regard du guerrier divin déjas présent, il semblait vraiment être prêt à tout pour Odin. Sa fidélité sans faille pour un dieu non present physiquement sur terre le fit sourire.
Il continua son chemin jusqu'à atteindre une colone, pour s'appuyer dessus, prés du foyer de la cheminée puis plongeant son regard dans le feu ronflant il attendit l'arrivée des autres soldats d'Asgard.

Guerrier Divin d'Eta Nombre de messages : 1 Date d'inscription : 24/02/2006

Chaleureuse n'est peut etre pas vraiment le terme le plus à propos ...

Mime venait d'entré à son tour à la suite du Guerrier Divin de Delta. Il le jaugea un instant avant de s'avancer plus encore et de le regarder droit dans les yeux.

Pour ta gouverne, sache que nombre d'Ases n'ont pas eu la chance de grandir préservé de tout danger dans le luxe et l'opulence ... Nombre d'entre nous ont souffert dans leur chair et n'apprécient guére les grandes Assemblées ...

Mime faisait directement reférence à son rpore passé, les relations qu'il avait entretenu avec son pere adoptif avant de découvrir l'étendue de sa trahison ...

Le jeune homme à la toison cuivré s'agenouilla devant la princesse en signe de respect mais aussi pour prouver son acte d'allégence envers Asgard et le Seigneur Odin. Se retournant quelques instant aprés, il croisa de nouveau le regard du Guerrier Divin de Delta avant de s'acoudder à une fenétre et d'entonner une mélodie ...

Hilda, qui avait baissé la tête pour mieux regarder Siegfried, releva la tête subitement au son de la voix dédaigneuse qu'elle n'eut aucun mal à reconnaître : le Guerrier Divin de Delta, Albérich de Megrez, venait de pénétrer dans la salle du trône silencieuse. Sans même s'agenouiller devant elle, le Guerrier se dirigea vers une colonne pour s'y adosser, sous le regard froid de sa Princesse... Un brin exaspérée. Il n'avait pas changé...

Avant même qu'elle puisse dire quoi que ce soit au nouvel arrivant, elle du se résoudre à refermer sa bouche entrouverte pour laisser parler le Guerrier Divin d'Eta qui venait se joindre aux deux autres Guerriers Divins. Résignée, elle dû écouter avec un certain ennui la réplique peu amicale de Mime, qui lui présenta, contrairement à collègue, son allégeance envers elle. Hilda posa sur lui un regard rendu vitreux par l'ennui. Elle hocha la tête comme pour approuver la phrase muette qu'il aurait dû dire, et, après avoir remis son coude en équilibre sur son accoudoir, posa sa tête sur sa main.

Trois... Ils n'étaient en tout et pour tout que trois dans la salle du trône du Palais... Et elle, elle semblait complètement à l'ouest... Depuis que Poésïdon l'avait lestée de son anneau, Hilda était constamment en quête de sommeil. Partout où elle se posait, elle finissait par somnoler. Son rendez-vous préféré était celui avec son lit ; autant dire que le peuple d'Asgard avait plus comme souveraine l'ombre d'une humaine que la douce et énergique Hilda de Polaris. Il fallait qu'elle trouve une solution à ce problème très problématique... Mais une fois de plus, elle ne s'en senatit pas l'énergie.

" ... "

Hilda regarda alternativement Mime et Albérich, puis Siegfried qui ne s'était pas relevé depuis qu'il était venu manifester son allégeance envers elle. Puis, la musique que chantonnait le Guerrier Divin d'Eta lui parvint aux oreilles, et Hilda se laissa porter au son de sa voix.

Invité

Albérich continuait à observer les flammes de l'âtre tout en écoutant la mélodie de Mime. Une atmosphère de somnolance s'installait dans la grande salle. Aprés plusieurs coups d'oeuils à la prêtresse Hilda le jeune guerrier divin comprit quelle était dans une mauvaise passe et que la fatigue la submergé.

Pour l'instant ses ambitions allait dans le même sens que celles de la prêtresse donc il soutiendrai ses actions jusqu'à ce qu'il décide de suivre un autre chemin.

La vue de la prêtresse en état de quasi faiblesse l'avait attendrit un moment.

Aprés le passage d'un léger sourire sur son visage il se replongea dans la contemplation des flammes en attandant l'arrivée des autres guerriers divins.

Le temps passait et aucun autre guerrier divin ne s'était présenté dans la salle du trône. A croire qu'ils avaient été gelés sur le chemin menant au Palais... Hilda n'avait pas demandé spécialement leur présence, mais ils devaient faire cate de présence une fois par jour au Palais pour montrer leur allégeance et, implicitement, leur vitalité. Mais sur son trône, Hilda était déconnectée de la réalité, et somnolait, la tête posée sur son poing.

Au bout d'un moment, la musique que sifflait Mime finit par s'arrêter, et Hilda se réveilla : elle n'avait plus sa berceuse. Alors, peut-être que quelque chose avait déclenché cet arrêt de musique si douce... Mais personne n'avait franchit le pas de la porte. Albérich regardait les flammes brûler, Mime était ailleurs et Siegfried... Eh bien c'était Siegfried. Hilda regarda par l'une des fenêtre et constata que le soleil était bien haut...

" Où sont passés les autres guerriers ? "